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  • Photo du rédacteurAurore Collard

The Town of Light

PEGI 16 sorti le 26/02/2016 LKAit jeu indé narratif (fps) 1 Platine - 7 d'or - 12 d'argent - 1 de bronze

Vous voici dans un jeu narratif à la première personne où vous ne pourrez que vous balader dans le décor d'un asile en ruine où il s'y passait pas mal de choses dérangeantes...

Au fur et à mesure que vous avancerez, le jeu vous demandera d'effectuer certaines actions, afin de débloquer l'ouverture des portes pour continuer et en apprendre plus sur cette pauvre adolescente du nom de Renée.

Les graphismes sont tels que sur l'image. Ils ne sont pas waouh, vous aurez même l'impression que la végétation manque de détails mais cela ne vous empêchera pas d'être bien imprégné dans l'ambiance. Malgré qu'il fait jour au dehors, vous vous sentirez parfois mal à l'aise dans ce lieu parfois glaucque, même malsain et particulièrement interpellant de cette histoire basée sur des faits réels.

D'ailleurs, ce jeu me fait penser au film Sucker Punch qui relate l'histoire d'une jeune fille enfermée dans un asile par son beau-père. Afin de survivre à l'enfer, elle s'imagine un monde fantastique et elle espère s'échapper à l'aide de ses amies. Si vous ne l'avez pas vu, je vous le conseille.

Concernant le jeu, vous aurez des choix à faire et ceux-ci ont un certain impact sur votre progression puisque vous pourrez obtenir 4 chemins différents jusqu'au final.

Je vous conseille de faire le jeu une première fois sans vous soucier de tout cela puisque vous pourrez revenir en arrière très facilement à l'aide de la sélection de chapitre.

Me concernant, j'ai terminé le jeu en 4 heures puis je l'ai platiné avec une heure de plus.

Par contre, je tiens à signaler que ce jeu n'est pas pour les sensibles. D'ailleurs, vous êtes prévenu avant de commencer à y jouer.



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